19 février 2011
Faut vivre
Edvard Munch, La Danse de la vie, 1899-1900
Ce ne sont pas les plus jolies qui dansent, ni même les plus intelligentes. Ce sont les plus vivantes. Et la danse les nourrit, leur donne cette énergie de vie qu'on leur envie. Figées dans leur jalousie, elles observent, ne comprennent pas, espèrent un compagnon qui les enlève, qui les allège. Mais non, il suffirait de faire un pas, d'esquisser un mouvement pour que la danse les prenne. Nul besoin de cavalier pour ça.
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